Féia, terres de conflits et de passion
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 Alhazen Rivail

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Alhazen Rivail
Le Chimériste
Alhazen Rivail


Messages : 157
Date d'inscription : 30/04/2017

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MessageSujet: Alhazen Rivail   Alhazen Rivail EmptyLun 1 Jan - 17:58

Alhazen Rivail

Le Chimériste



Surnom : Docteur – je sais qu'il s'agit plus d'un titre que d'un surnom, mais j'ai plus de relations professionnelles que véritablement amicales.

Âge : 203 bonnes années – mes pairs se demandent si je vais un jour passer l'arme à gauche. Ce n'est jamais très évident de deviner quels sont les effets de l'hybridation sur la longévité.

Sexe assigné: Masculin.

Genre : Cis – ça, j'en suis à peu près sûr.

Orientation sexuelle : La dernière fois, j'étais hétérosexuel. Ça n'a pas dû changer, depuis, même si je vois relativement peu de femmes, même dans le cadre du travail. Je ne peux pas vraiment dire « demisexuel », vu que c'est assez commun chez les elfes d'être un peu plus longs à la détente que chez les humains ; je crois que certains d'entre-eux me reprochent même d'être un rien don Juan. Interprétations culturelles.

Orientation amoureuse : Celle qui va de paire.

Race : Mes papiers disent « elfe » – ils auraient bien aimé changer ça quand ils m'ont vu arriver à la puberté, donc … « hybride humain au sang elfique indéfini » ?


Personnalité


Caractère : Placide – au moins autant que j'arrive à l'être, soit plus qu'un pair humain ; mais moins peut-être qu'un elfe pur. C'est difficile de rester calme, posé, flegmatique et réfléchi quand les 75% d'eau que j'ai dans le corps sont mélangés avec une quantité à ce point improbable de caféine. Quand il s'agit du travail et de la recherche, j'ai une forte tendance à me faire passer au second, voire troisième plan ; ce n'est pas très bon de se négliger comme ça, côté nourriture et sommeil, je sais : j'ai vu beaucoup trop de patients qu'il a fallut sermonner pour ça. Je fais un très mauvais exemple. D'ailleurs, si je n'hésite pas à donner des leçons aux patients, j'ai bien du mal à dire « non » à ceux qui ont plus de galons. Je recherche plutôt leur approbation à tout prix : les colloques d'alchimistes et de médecins font mes rares contacts réguliers, alors le travail est devenu ma vie, et les petites rivalités entre collègues un lot quotidien que j'ai même fini par apprécier – c'est assez particulier d'essayer de jouer des tours à des collègues qu'on qualifie si souvent d'erreurs de la nature qu'ils mériteraient d'être l'objet de thèses à eux seuls, surtout quand ils sont si près de l'immortalité qu'on se retrouve avec une belle armée de singes bien trop vieux pour leur faire apprendre de nouvelles grimaces. La recherche du moindre mal et à moindre coût est autant la quête des alchimistes que des politiciens, j'avoue donc pousser ma curiosité en toute neutralité dans les affaires les plus diverses sans jamais chercher à ingérer dans celles-ci : les choses qui ne me regardent pas n'ont pas besoin d'être dérangées, c'est la base de tout témoin dans un protocole scientifique – et d'une survie aussi longue que confortable pour un homme de mon métier. J'ai par ailleurs su développer des trésors de patience à l'égard du monde qui m'entoure, à un point tel que je suis plus de ceux qui désespèrent arrivé à leur point de rupture que de ceux qui s'enflamment … parce que j'ai bien beau être tenace, dur à la tâche, je ne suis pas quelqu'un de belliqueux et préfère m'effacer parfois littéralement des conflits pour ne pas avoir à trop perdre en misant sur le mauvais clan : les prises de risques sont très loin de faire mon délice.

Physique : Malgré le beau temps de Dühr, je suis aussi pâlot que falot : ce n'est pas l'argent qui manque pour me remplumer non plus, pourtant. Surtout que je ne suis pas sous des latitudes où il serait facile de mourir de faim. Et ce n'est pas ma masse en muscles qui va combler ça : si elle pouvait être négative, je réussirais à m'envoler. Pourtant, ce n'est pas cette silhouette assez ridicule et haute que mes uniformes n'arrangent jamais qui marque le plus ceux qui doivent se souvenir de moi : mon entourage humain sera interloqué par mes oreilles, trop pointues pour me rattacher à leur race ; mon entourage elfique, lui, ne manquera pas d'être surpris (voir choqué, si absurde que ça puisse vous paraître pour l'instant) par ma pilosité faciale, très loin d'être commune au sein de ce peuple. C'est un héritage métis que j'essaie d'arborer fièrement, puisqu'il fait de moi une personne presque unique parmi les alchimistes ; c'est cet héritage qui m'a amené à être ce que je suis aujourd'hui, à faire avancer les domaines que j'ai choisi. Même si mes insécurités les plus tenaces reviennent souvent au galop et se lisent sur mon maintien comme dans un livre ouvert, j'essaie toujours de me tenir fièrement, ce depuis ma jeunesse – ça a donc fini par déteindre sur le naturel, ce que tout le monde n'apprécie pas et ira jusqu'à traiter d'antipathique. La patine du temps a fait son œuvre et les rides se sont creusées sur mon visage, mes cheveux se sont poudrés très tôt déjà et je dois souvent user de mes propres savoirs pour apaiser certaines des douleurs liées à l'âge. Mes sourcils très noirs, ma barbe assortie et taillée avec autant d'angles que le reste de ma personne, tous deux encadrent deux yeux perçants qui flanquent un nez de rapace et qui, aux dires de certains patients, me donnent l'aspect d'un vieil aigle en quête d'une proie. Ce qui n'est pas pour servir ma profession. Celle-ci est pourtant gravée sous ma peau en grandes pompes grâce à la marque des maîtres : émérite parmi même les miens, j'ai plus que mérité le serpent des alchimistes. Le mien joint l'utile à l'agréable : les tracés dont je l'ai enrichi tout à mes fantaisies permettent une meilleurs canalisation de mon énergie dans mes travaux et réduisent certaines manipulations relevant de la cicatrisation ou de la sculpture basique à une simple apposition des mains.

Point(s) fort(s) : Le camouflage : grâce à l'alchimie, si je suis bien préparé, je peux m'évanouir dans la nature sans problème au moindre danger. Je connais aussi assez bien ce qui m'entoure pour ne pas craindre de mourir de faim ou d'une infection dans ma cachette. Je ne manque pas d'intelligence, ni d'attention, aussi je parviens presque toujours à parer à toute éventualité par ordre de probabilité, pour une marge d'erreur tout à fait négligeable. Dans ce genre de situation, mes réflexes restent encore relativement bons malgré mon âge et mon manque d'entretien physique.

Point(s) faible(s) : Je m'aveugle facilement en terme de relations sociales, aussi, même si je suis rarement surpris par un événement, je reste incapable de le prédire. Je suis aussi très mauvais combattant, à un point où c'en serait presque risible si ce n'était pas à ce point désolant. J'en ai tout bonnement renoncé à user de quelque armement que ce soit, qui serait bien plus utile à mes agresseurs qu'à moi-même. En voulant bien faire, je risque par maladresse de m'enfoncer plus loin dans les ennuis. De plus, le calme que j'essaie de cultiver est plus un désespoir résigné face à l'adversité qu'un plein contrôle sur la situation.


Histoire


Famille : Je suis un orphelin impérial, ce qui est très commun et a pu amener à quelques erreurs … d'assignation, pourrait-on dire.

Lieu d'origine : Je ne sais pas si je suis né à Dühr, j'y ai toutefois passé mon enfance et mon apprentissage.J'en suis d'ailleurs peu sorti.

Passé : C'est étrange la quantité de souvenirs qu'on est capable d'emmagasiner. D'autant plus que je connais bien peu d'elfes arrivés en aussi grande forme à leur 200ème année. Eux-aussi en ont connu assez peu, mon métissage commence donc à éveiller de sévères questions parmi les populations amanéennes de passage. Je me souviens encore de l'odeur de l'orphelinat où j'ai grandi : celle qu'il avait le matin au moment du petit déjeuner, et le soir, aussi, quand la journée était finie et que nous nous retrouvions tous un peu cotonneux et endormis devant une boisson chaude juste avant le coucher. J'étais très jeune encore quand on m'a mis pour la première fois en contact avec d'autres elfes, pour m'enseigner le B.A.BA des arts de la manipulation organique. À sept ans peut-être (et je m'en rappelle encore !), j'avais été très impressionné par ces représentants si officiels qui m'avaient accueilli auprès d'eux pour partager avec moi leurs secrets elfiques. J'ai travaillé comme n'importe quel élève jusqu'au jour où la puberté s'est invitée dans mon quotidien et m'a désignée comme un métis humain. Les oreilles trop pointues pour en être un, la moustache trop fournie pour être un elfe, certains de mes camarades et de mes professeurs ont commencé à se demander si dans mes veines ne cohabitaient pas plutôt un sang drow au côté de mon sang humain. De peur d'élever un sang qui se serait retourné contre eux, ils ont fini peu à peu par se désintéresser de mon enseignement, puis tout à fait quand j'ai fini par trouver un asile étrangement chaleureux sous l'aile des alchimistes du Grand Ordre. Depuis, j'observe une fidélité en tout point impeccable les principes de leur déontologie et l'applique à mon exercice du métier de chimériste. Mes compétences en biologie et mon intérêt pour l'hybridation m'ont attiré les subventions de Dalentour pour que je dirige mes recherches autour d'une prophylaxie de la lycanthropie ; ces recherches, d'abord entreprises avec beaucoup de joie, d'enthousiasme et de hâte se sont vite vues refroidir par ce choix si politique du moindre mal qui devait surgir souvent sur la voie que je choisissais d'arpenter. Voilà donc plusieurs années que je poursuis activement et gracieusement ce qu'avant je faisais pour arrondir mes fins de mois : je soigne pour me sentir plus utile et répandre autour de moi de petits riens de bienfaisance avec la même neutralité que celle que je réserve à mes travaux.


Autres informations


Arme(s) et équipements : Mes seuls vêtements ; pour être précis, j'ai quatre costumes, tous de la même couleur ou presque, certains rapiécés aux coudes, toujours maintenus propres et sans plis même quand ils n'ont pas été lâchés depuis l'avant-veille à cause d'une nuit passée au laboratoire ou à étudier certains détenus infectés.

Pouvoir(s) : Je suis alchimiste, spécialisé dans la chimérie ; j'ai quelques facilités à ce sujet qui m'y prédisposent grâce à mon fort potentiel à manipuler la matière (et, comme je vous l'ai dit précédemment, il a été développé pendant quelques années jusqu'à mon entrée catastrophique dans l'adolescence).

Passions : Je ne vis et ne respire que pour mon travail ; bien qu'il m'arrive, côté respiration, d'y joindre un peu de tabac. J'apprécie aussi un bon café, et bien plus encore quand il m'est offert de la partager. Certains de mes amis me voient comme un original par rapport à certaines de mes lubies culturelles : en me penchant toujours plus sur les questions de biologie et d'environnement, j'en suis venu à m'intéresser à tout ce qui tient des coutumes liées au vivre ensemble et au recevoir.

Aversions : Les drows : je n'ai pas pour habitude de concevoir une haine quelconque à l'égard de quiconque et encore moins dirigée sur l'ensemble des individus d'une race de façon par trop abusive, mais les elfes noirs sont parmi l'abjection la plus crasse qui ait foulé ces terres. L'enseignement porté par mes premiers maîtres est peut-être le vecteur de ces idées, le fait est que jamais ma curiosité n'a su me guider jusqu'à suffisamment d'anomalies pour me valoir de modifier ma théorie sur le sujet. J'ai aussi horreur d'être sciemment bousculé, tant physiquement que moralement, et j'aime mieux qu'on me laisse aller à mon rythme.

Position vis-à-vis des terres sauvages : Un trésor d'inconnues à révéler qui seraient très vraisemblablement d'un apport sans pareil dans nos domaines scientifiques.

But : Je commence à m'approcher doucement de la tombe et j'aimerais vraiment laisser une trace de mes recherches derrière-moi, faire avancer assez mes domaines de prédilection pour qu'ils puissent aboutir à une certaine utilité sensible auprès des simples civils. J'aimerais aussi pouvoir former quelques élèves dont je sais qu'ils me survivront, l'étude de l'alchimie de pointe ne pouvant se passer dune certaine longétivité.



Vous

Pseudonyme : Mél, ou plus souvent Jubel. :-)
Comment êtes-vous arrivé ici ? De Févlia en Févlia, j'ai fini par atterrir sur Feia. Je fais partie du navire, partie de l'équipage !
D'où vient votre avatar ? Wikiart ! Encore et toujours !
Autre(s) compte(s) sur Féia : Dante Ghiaccio, Zima Targavin et Fai Ghiaccio.
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