Féia, terres de conflits et de passion
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 Alexander "Mirage" Krov

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2 participants
AuteurMessage
Alexander Krov
Mirage
Alexander Krov


Messages : 54
Date d'inscription : 07/12/2017

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MessageSujet: Alexander "Mirage" Krov   Alexander "Mirage" Krov EmptyJeu 7 Déc - 15:06

Alexander Krov

Mirage



Surnom : Mirage, surnom qui lui venait du dieu du paradis et que ses partisans comme ses détracteurs lui avaient donné (mais pour eux, c'était plus dans le sens de mirage, d'illusion ou de mensonge). Sinon, son titre de docteur suffisait.

Âge : Voilà longtemps qu'il ne compte plus.

Sexe assigné: Masculin.

Genre : Cis.

Orientation sexuelle : Très peu voire pas intéressé par les plaisirs de la chair, il se considérait hétérosexuel.

Orientation amoureuse : Tout son amour n'allait qu'à sa race merveilleuse, celle-là même pour laquelle il aurait pu tout sacrifier. Ses individus pris à part n'auraient eu, eux, aucun traitement de faveur : il préférait concentrer son énergie toute entière à libérer et magnifier son peuple, plutôt que de n'en consacrer une part même infime qu'à une seule personne.

Race : Vampire.


Personnalité


Caractère : Le plus frappant, chez Mirage, c'était son calme absolu en toute circonstance, toujours accompagné d'une froideur calculatrice. Peu importe l'expression que vous aperceviez sur son visage, il ne s'agissait la plupart du temps que d'un masque composé pour l'occasion, masque qu'il n'aurait même pas pris la peine d'appuyer ou de rendre particulièrement crédible. Ceux qui ne le connaissaient pas, comme ses patients, les passants, les personnes dont il faisait profiter de ses largesses disaient dans leur grande majorité être rassurés par son attitude apaisante ; ses ennemis et ceux qui devaient craindre sa colère subissaient eux le décalage malsain entre son sourire posé, sa voix calme et ses paroles à double-sens, ses gestes violents et précis, ses sanctions froides, mesurées et calculatrices. Si le Docteur Alexander Krov était loin d'être quelqu'un de tendre ou de chaleureux, il n'était pas non plus de ceux qui dilapident leurs ressources et tuent à tours de bras : chaque vie est un outil précieux qui peut toujours avoir une certaine utilité, et il ne convient de se débarrasser d'une pièce que si elle a prouvé soit son inutilité, soit sa dangerosité ; il était par contre incapable de tuer un de ses pairs vampires et préférait le maintenir dans un état proche de celui de goule pour lui enseigner que vampire n'était pas une race à entacher à la légère sous sa coupe. Ainsi, sans être sadique, Mirage pouvait révéler des trésors d'imagination en matière de sanction. Il savait aussi et surtout récompenser les forts qui lui fournissaient de leur temps et de leur être, et il savait les récompenser à la mesure des sacrifices qu'ils faisaient pour sa cause. Bien que fière de son patrimoine vampirique, il n'était pas de ceux qui hurlent leur fierté sur tous les toits et préférait agir dans une mesure et un port tout nobles, citadins et cultivés. Sa première approche était accueillante, et il n'avait tendance à récolter des informations qu'au sujet de ceux qui avaient su l'intriguer. Très surprenamment d'excellente compagnie à table, il était néanmoins contre la consommation de toute forme d'alcools comme il se montrait tout particulièrement sélectif sur les sangs réservés à sa consommation personnelle. Les rares moments où il pouvait arriver d'apercevoir Mirage sur le terrain étaient ceux, délicats, où une entente par la diplomatie restait la plus désirable. Malgré ce portrait si calculateur, Mirage n'était pas immunisé contre les émotions, ni même encore contre l'affection qu'il pouvait ressentir au fond de son vieux cœur désabusé : rien, pas même ce cœur n'auraient toutefois pu le faire dévier de cette tâche, ce devoir, cette raison d'être qu'il avait placé dans sa race. Il n'aurait ainsi pas hésité a tout sacrifié, amis comme amours et jusqu'à lui-même pour l'aboutissement de ce rêve ; ses plus profondes affections ne pouvaient ainsi qu'être purement utilitaires. Ces « utilitaires » étaient néanmoins en nombre bien moindre chez ses pairs, ses frères, sa famille, sans toutefois le laisser tolérer ceux qui lui auraient fait barrière. Toute sa parole ainsi que sa gestuels étaient calculés et construits en fonction de son interlocuteur.

Physique : Il attirait à lui la sympathie et la confiance de tous avec une aisance qui relevait d'un véritable talent. Celle-ci était très probablement aidée par des yeux assez grands et très noirs, très facilement souriants ou attentifs. La suggestion d'un très léger début de calvitie qui lui rongeait le front dans ses cheveux courts, disposés avec soin pour la masquer un peu, n'était peut-être pas en reste dans l'aura de sympathie du personnage. Grand fin à la démarche souple, aucun de ses gestes n'était inutile ; le geste précis faisait toutefois deviner un état d'alerte presque continuel, qu'on pouvait facilement croire (et à raison, même si les causes internes devaient souvent être différentes de celles supposées) toujours dirigé vers le bien des autres. Son visage portait toujours ce même sourire à la chaleur aussi accorte que terrible lorsque le contexte ne s'y accordait pas. Son souci du détail et de la propreté se retrouvait sur toute sa personne : depuis ses vêtements de fonction, sombres, qu'il paraissait avoir en plusieurs dizaines d'exemplaires jusqu'à sa barbe taillée avec une précision chirurgicale qui pouvait facilement éclipser la saillie des canines. Très à l'aise avec son apparence présente, elle devrait s'en retrouver celle qu'il avait le plus longtemps portée aux yeux du monde. Malgré quelques mèches grises dans ses cheveux de jais, et le teint assez blafard même si peu pour un si bon représentant de sa race, pas une ride ne pouvait laisser associer un âge à ce visage qui se voulait aussi rassurant que le tatouage de maître médecin qui lui couvrait l'entièreté du bras droit, composé entre-autres du serpent si commun aux alchimistes, apothicaires et herboristes.

Point(s) fort(s) : Ils étaient sujets à de fortes variations dues aux possibles consommations de sangs qui l'auraient doté des forces et faiblesses tirés de leur donneurs. S'il n'était pas un combattant, il savait néanmoins répondre en bon noble aux tentatives d'assassinat sur sa personne, piquant l'ennemi par surprise, vif et souple comme un serpent. Tout aussi précis. Son calme inébranlable faisait qu'il se retrouvait très rarement acculé en situation de faiblesse ; et, le cas échéant, qu'il n'en laissait rien paraître.

Point(s) faible(s) : Peu combattant, il cherchait toujours à éviter un conflit autre qu'intellectuel. Ses faiblesses étaient toutes celles des vampires. De plus, il usait peu des fioles de sang à sa disposition, trouvant que l'emploi trop fréquent des sangs de races et créatures étrangères étaient impures et dénaturait trop la beauté de sa race. Vampire, il conservait néanmoins les sensibilités qui lui étaient propres : la seule lumière du soleil lui était assez eu supportable malgré sa bonne nutrition, et il devait donc y pallier par divers crèmes et onguents.


Histoire


Famille : Il considérait ses pareils de la Maghia comme sa famille, et plus encore ses frères et sœurs vampires. Sa famille s'étendait loin et nouait des contacts à toutes les échelles de la société, ainsi qu'avec toutes les races. Puisqu'il jugeait le vampirisme comme un trait digne de fierté, il lui arrivait de promettre à ses plus proches fidèles de les en récompenser lui-même selon un baptême digne de ce nom quand cela était possible. Désireux de sortir les spécimens les plus prometteurs de conditions injustement avilissantes, il avait très ouvertement et très honnêtement mis en place divers établissements à forte portée sociale : orphelins, parias, esclaves ne seraient jamais morts de faim dans son aire d'influence, mais ils n'étaient pas les seuls dont il s'attirait la reconnaissance – philanthropes et hommes de science tombaient très souvent et naïvement sous son emprise et ses idées. Souvent placés hauts dans la hiérarchie sociale, connus pour être excentriques et rongés par la curiosité, Krov les savait être des marches-pied mondains de choix tout autant que des conseillers pertinents. Parmi ses contributions sociales, il était aussi à l'origine de la plupart des bâtiments destinés à accueillir, nourrir et rééduquer ses pairs.

Lieu d'origine : Le cœur de l'Empire l'avait probablement vu naître, il y avait bien longtemps déjà, du temps des Anciens Royaumes au sujet desquels il avait toujours une nostalgie débordante. Il lui arrivait encore de se rendre dans les plateaux de Lies, pour chercher les terres dont il avait été chassé par ces guerres ancestrales.

Passé : Aussi loin que pouvait remonter sa mémoire, il avait toujours été un vampire ; c'était du moins ce qu'il se plaisait à dire et répéter chaque fois qu'on l'interrogeait sur la chose, et peut-être avait-il fini par s'en convaincre lui-même et oublier tout de son passé. Issu d'une noblesse fière, aisée, il avait toujours choisi de porter le visage qu'il montrait encore alors, sans jamais en changer par des artifices quelconques issus du sang de sirène. L'âge de ce corps, la fatigue de ses yeux qu'il aidait parfois par une petite paire de lunettes de lecture sans que cela eût pu lui faire se sentir faible, peut-être tout cela pouvait aider à deviner l'âge auquel celui qui serait surnommé Mirage avait choisi de devenir vampire – bien que le caprice y fût sans doute pour plus.

Il était un grand amoureux de cet âge d'or dont il parlait toujours : suzerain, seigneur sur ses terres, il conservait le souvenir d'avoir été juste et prodigue envers ses serfs et ses fils. Il vit ce que la naissance et la croissance de Dalentour fit à cet équilibre, comme cette plante avilissante avait progressivement mais violemment nécrosé ce petit monde idéal. Beaucoup de ses frères et de ses fils n'avaient pu survivre à l'instauration de ce nouveau régime ; il vit aussi comme les chasses avaient pu transformer la manière de penser des siens, en faire des bêtes dégénérées et trop heureuses de pouvoir, après le massacre, se rabaisser à lécher les miettes qui leurs étaient présentées à eux qui avaient été autrefois chasseurs.

Ses connaissances en médecine, qu'il avait jusqu'alors pratiquée seulement en dilettante, et sa prestance naturelle lui permirent de se réapproprier un peu de sa gloire d'antan ; mais souhaiter, même de tout cœur, la mort d'un régime ou de l'esclavage n'est rien sans des hommes de confiance, suffisamment rêveurs et forts pour le suivre et avancer à ses côtés. Des hommes pour qui il était capable de mourir.Tout allait ainsi, à son rythme, jusqu'au jour où, par un étrange hasard, il eût un enfant – au delà même de l'immaculée conception, la petite chose était très littéralement tombée du ciel. L'angelot qui s'était ainsi retrouvée dans la saignée de ses bras, après qu'il l'eût délogée de son point de chute, fut élevée comme la chair de sa chair, celle-là même qui devrait lui succéder peut-être un jour ; véritable petite mine d'or dont il n'empruntait les ressources que par doses infinitésimales, sans jamais abîmer l'enfant qui serait un jour peut-être son plus fervent soldat. Le sort de la nourrice partie à sa recherche fut moins enviable, bien qu'il lui eut trouvé une utilité qui en fit, elle aussi, une pièce de choix.


Autres informations


Arme(s) et équipements : Il avait toujours sur lui un petit revolver habilement caché dans une manche qu'il savait dégainer vite et en toute discrétion, ainsi qu'une dague quand il devait quitter le monde où il était encore bien protégé par sa couverture. Une pochette d'outils chirurgicaux et quelques médicaments de première nécessité pouvait être son seul bagage quand il passait la porte de son cabinet. De jour, onguents et lunettes contre le soleil rejoignaient l'artillerie. Une grande canne l'accompagne parfois : en plus de dissimuler une lame, celle-ci peut se détacher pour céder sa place à un petit canon à un seul coup.

Pouvoir(s) : Ceux des vampires : il tirait ses forces et ses faiblesses des sangs consommés. S'il prépare ses fioles avec soin, il les employait rarement toutefois en combat.

Passions : Il était fasciné par les personnes fortes et toujours en recherche d'une harmonie parfaite. La seule insubordination qu'il tolérait devait venir d'hommes de confiance et donner des résultats au moins aussi bons qu'escomptés par ses méthodes. Une autre de ses passions, à laquelle il avait fini par prendre goût en devant materner la petite Lily, c'était la cuisine : les aptitudes ainsi gagnées à force de pratique lui permirent de mettre la main à la pâte dans certains de ses établissements à destination des plus pauvres – ou dans la confection maison de friandises dont les recettes allaient au même public.

Aversions : La plus grande partie de sa haine et de son dégoût s'était logée dans ce que sont et ce que représentent les goules ainsi que tout vampire né diminué : rangés au même niveau, ils constituaient pour lui des outils indignes issus de la crasse et de la fange des malheurs semés par Dalentour. Aussi, quand un de ses plus proches lieutenants s'était rebiffé et avait de méthodes aussi indignes dans une rébellion qu'il n'avait revendiqué qu'après coups (rébellion connue des Louvetiers et de la population impériale, célèbre même, qui valut quelques nouvelles tourmentes à ses frères et ses sœurs), ce groupuscule par trop zélé fut maté par ses soins et son lieutenant maintenu dans un état de diminution similaire à celui qu'il avait à jamais offert à ses victimes, moins autonome encore qu'un animal de compagnie. Cas d’exception, puisqu'il s'abstient toujours d'infliger des souffrances inutiles, de tuer, et moins encore de tuer dans la souffrance. Ce qui restait de sa haine se répartissait presque équitablement entre les mauvais hommes de pouvoir, ceux qui se complaisent dans une richesse imméritée, les faibles en général, ainsi que les taches tenaces (le soin qu'il apporte à sa tenue était symptomatique, et il essaiera toujours de tuer proprement – jamais en mordant ses victimes, donc, parce qu'en plus d'en faire des goules, c'est une technique très salissante). Quant à la religion, il la percevait comme l'opium d'une populace désœuvrée, bâtie seulement sur des superstitions ridicules qui ne viendraient jamais en aide à ses martyrs.

Position vis-à-vis des terres sauvages : Les terres elles-mêmes avaient un intérêt très limité dans sa quête ; elles le poussaient néanmoins à devoir esquiver les questions de sa fille.

But : La suprématie vampirique.



Vous

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Comment êtes-vous arrivé ici ? Par Jubel, sur l'ancien Févlia.
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Messages : 99
Date d'inscription : 01/10/2017

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MessageSujet: Re: Alexander "Mirage" Krov   Alexander "Mirage" Krov EmptyJeu 7 Déc - 15:47

Bienvenu à notre tant attendu Alexander ! =D

Écoute, je ne vois rien à modifier, donc, ça me va Wink !
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Alexander "Mirage" Krov
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